Aucun été n'est éternel
Nous sommes au milieu des années 60, Aymon part avec des amis en vacances en Grèce, fuyant un père nonagénaire mourant, une vie de fils unique étouffante et pénible. A dix-huit ans, il découvre la vie de beatnik, goûte aux substances illicites, a ses premiers émois amoureux. Il découvre surtout que son coeur peut battre, que sa vie lui appartient, et que si rien n'est éternel le champ des possibles est vaste.
Un style très élégant qui dit la difficulté du passage à l'âge adulte et le mal que l'on peut éprouver à se défaire de certains carcans.